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Merveilles du Monde ANIMAL - Grenouilles |
BRETAGNE N°107 > Mai-Juin > 2019 |
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Prix Autres Animaux Sauvages |
NAT'IMAGES N°47 > Janvier > 2018 |
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Australie : Grande Gueule |
TOUT COMPRENDRE JUNIOR N°61 > Janvier > 2018 |
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COMMENT ÇA MARCHE N°74 > Août > 2016 |
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NATIONAL GEOGRAPHIC N°203 > Août > 2016 |
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NAT'IMAGES N°38 > Juin-Juillet > 2016 |
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Cliché de Grenouilles Vertes |
MACRO PHOTOGRAPHIE N°7 > Janvier-Avril > 2015 |
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Caprices d'une Star Forestière |
GEO HS Best-Seller N°2 > Décembre-Janvier > 2015 |
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IMAGE & NATURE N°75 > Octobre-Novembre > 2014 |
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C.S. - MARÉVA > Juillet > 2014 |
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INDONESIE - JAKARTA : Ça Chatouille ou ça Gratouille ? |
On pourrait presque croire que la mante religieuse offre à un batracien extatique une bonne tranche de rigolade !
Passionné de photo naturaliste, Fahmi Bhs, l'auteur de cette image, a placé une mante religieuse sur le ventre d'un crapaud qu'il avait trouvé sur le capot de sa voiture. Ce calin n'a duré que quelques secondes avant que la batracien se retourne d'un bond. Photo : Fahmi BHS/Solent News/SIPA
Pur anthropomorphisme. Cette situation cocasse a été provoquée par le photographe et aucune étude scientifique n'indique que les crapauds apprécient les chatouilles. En revanche, des primates - l'orang-outan, le bonobo ou le chimpanzé - peuvent éprouver cette même sensation agréable pour l'homme. Plus surprenant, les «guili-guili» déclenchent aussi un rire réflexe chez... le rat. Jaak Panksepp, neuroscientifique à la Washington State University, a capté les ultrasons émis par des rats que l'on chatouillait sur le ventre : les rongeurs produisent des couinements d'une fréquence de 50 kHz, exactement comme lorsqu'ils jouent entre eux. Même si ces sons restent inaudibles pour l'oreille humaine, la science donne tort à Rabelais : le rire n'est pas le propre de l'homme.
ÇA M'INTÉRESSE HS N°8 > Août-Septembre > 2014 |
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Sur l'île de Java, un couple de grenouilles semble condamné à un destin funeste...
La photo n'est qu'un passe-temps pour Fahmi Bhs, 39 ans, technicien dans une entreprise de matériel hospitalier à Jakarta, en Indonésie. C'est en se promenant dans un parc privé appartenant à un ami qu'il a pu observer cette scène improbable.
Il semble facile d'imaginer la scène suivante : ces deux grenouilles arboricoles dévorées par le crocodile qui s'apprête à les engloutir. Mais les apparences sont trompeuses ! Le prédateur ne passera pas à l'attaque. En réalité, il est tout simplement en train de prendre le frais. Dépourvus de glandes sudoripares (qui permettent à certains mammifères de transpirer), les sauriens sont obligés d'ouvrir grand la gueule pour pouvoir réguler leur température interne. Au bout de quelques minutes, notre crocodile tournera les talons et s'en ira voir ailleurs. Un peu plus tard, le photographe l'observera être moins magnanime face à une poule, qu'il gobera sans faire de manières. Bien trop occupées à leur petite affaire, les grenouilles, elles, ne sauront jamais à quel péril elles ont échappé...
ÇA M'INTÉRESSE N°400 > Juin > 2014 |
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Le photographe Svein Nordrum était en train de faire du patin à glace sur le lac Bindingsvann, à une vingtaine de kilomètres d'Oslo, un matin de novembre, lorsqu'il a aperçu une forme dépasser de la surface. "La mort de la grenouille datait surement de la nuit précédente", a-t-il supposé.
Cette grenouille a été figée par le froid sur un lac en Norvège.
Contrairement à ce que laisse penser cette photo, le mois de novembre 2013 a été reconnu, sur l'ensemble de la planète comme le mois de novembre le plus chaud depuis que les données climatiques sont enregistrées. Et c'est paradoxalement ce qui a été fatal à cette grenouille. Comme tous ses congénères, le batracien était en état d'hibernation depuis les premiers froids. Mais les températures exceptionnellement douces (plus élevées de 1,5°C que les normales saisonnières) en Norvège ont provoqué le réveil de l'animal qui, tout émoustillé, s'est alors probablement aventuré sur la vaste surface du lac gelé à la recherche d'un partenaire sexuel. C'était sans compter sur une baisse brutale du thermomètre au milieu de la nuit...
ÇA M'INTÉRESSE N°397 > Mars > 2014 |
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Canada : Têtards de Campbell River, Colombie-Britannique, côte est de l'île de Vancouver |
NATIONAL GEOGRAPHIC > Avril > 2013 |
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NEWLOOK N°341 > Juin-Juillet > 2012 |
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États-Unis : Madame est Servie |
Parkton, Maryland. La grenouille-taureau a un précepte : la faim justifie les moyens, y compris de se laisser aller au cannibalisme.
Manger cinq fruits et légumes par jour, ce n'est dénitivement pas du goût de la Rana catesbeiana, qui préfère la viande. Et, pourquoi pas, les cuisses de grenouille !.
Comprenez-la, elle ne peut pas s'empêcher de gober tout ce qui lui passe sous le nez. Un appétit insatiable qui lui a valu une réputation des plus déplorables au sein du règne animal, et même parmi les humains. Tad et Karen Bacon peuvent en témoigner. Ces Américains ont en un haut-le-cour quand ils ont vu ce batracien émerger de l'un des filtres de leur piscine, la gueule entrouverte et son en-cas à peine terminé. "Lorsque mon époux m'a dit de venir, je dois avouer que la scène m'a laissée bouche bée, confie la jeune femme, je ne pouvais pas m'empêcher de me demander comment elle avait réussi à faire entrer une autre grenouille dans sa gueule". Une image insolite qui ne doit pas faire oublier que cette espèce invasive est du genre qui veut se faire aussi grosse que le bouf, ingurgitant à qui mieux mieux rongeurs, oiseaux, chauve-souris, serpents, et congénères. Une vraie plaie pour les écosystèmes dans lesquels elle s'installe...
CHOC N°145 > Juillet > 2012 |
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Bélize : une Rude Bataille |
Vendredi 7 Mars, Bélize : de la grenouille ou du serpent, qui est le plus fort ? Mystère.
Alors qu'il allait quitter le Belize, petit pays d'Amérique centrale, le photographe David Maitland a assisté à ce duel entre une rainette arboricole de Morelet descendue de la canopée et un serpent aux yeux de chat bien décidé a occire sa proie.
Il n'a pas eu la patience d'attendre la fin de l'affrontement, qui a dû durer de longues heures. Quand enfin l'homme les a quittés des yeux, les deux animaux ne bougeaient plus mais continuaient à lutter. Basé en Angleterre, David Maitland a reçu le prix 2008 du meilleur photographe animalier.
Le début de la saison des pluies commence au Belize. C'est un signal pour les grenouilles qui descendent de la canopée (la cime des grands arbres) afin de se reproduire. Les prédateurs, eux, sortent pour se nourrir et les rencontres tournent au duel. Les grenouilles de Morelet sont en voie d'extinction du fait de la disparition de leur habitat, mais également parce qu'elles intéressent les collectionneurs du monde entier.
CHOC Hors Série N°4 > Décembre > 2008 |
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Il y a un peu plus de 10 ans, le film Microcosmos popularisait l'infiniment petit et les drôles d'histoires qui s'y nouent. Cette image illustre parfaitement la séduction fatale.
Dans le rôle de la belle plante, la Drosera intermedia (drosera), un végétal carnivore qui vit notamment dans les zones marécageuses ; et dans celui de la naïve victime, une grenouille rousse.
Pour attirer sa proie, la plante insectivore se pare de ses plus beaux atours : ses poils secrètent des substances collantes qui font scintiller ses feuilles au soleil, comme si elles étaient recouvertes de nectar... Et hop ! Le tour est joué. L'agitation de l'animal, pris au piège dans les poils, ne fait que stimuler l'activité de la plante, dont la feuille se replie complètement en une ou deux heures. Linsecte - libellule ou moustique - finit asphyxie avant d'être digéré.
Heureusement pour elle, cette petite grenouille secrète de son côté une sorte de mucus qui empêche la substance collante du droséra de prendre durablement. C'est le happy end : le batracien s'en sort sain et sauf.
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