Incroyable Monde Marin

20 000 Merveilles sous les Mers



G.L. - GEO N°496 > Juin > 2020

Magie des Profondeurs


P.M. - TERRE SAUVAGE N°363 > Avril > 2019

Clown et Anémone

NAT'IMAGES N°55 > Août-Septembre > 2018

Méduse et Tortue

NAT'IMAGES N°53 > Décembre > 2018

Hippocampe dans le Monde Moderne

NATIONAL GEOGRAPHIC N°225 > Juin > 2018

Canada : Falaise Tapissée d'Anémones

D.D. - NATIONAL GEOGRAPHIC N°222 > Mars > 2018

Plongée de Gabriel Barathieu





MACRO PHOTOGRAPHIE N°16 > Avril-Juillet > 2017

Plongée au Milieu des Coraux de Cuba



NATIONAL GEOGRAPHIC N°205 > Octobre > 2016

Macro et Focus

CHASSEUR D'IMAGES N°384 > Juin > 2016

Triton Marbré

NAT'IMAGES N°38 > Juin-Juillet > 2016

Mexique : Saisir la Bête au Bond

GEO N°443 > Janvier > 2016

Superbe Faune Marine

C.S. - MARÉVA > Mars > 2015

AUSTRALIE : Dans le Blanc des Yeux

GRANDE BARRIÈRE DE CORAIL - Le petit oil globuleux du Cheilinus undulatus, communément appelé napoléon ou labre géant, en témoigne : l'espèce est curieuseet peu farouche.

Distrait par l'appareil photo, ce labre géant n'a pas vu venir Henric Carlstrom, touriste suédois de 35 ans qui plongeait pour la premiére fois. "Si nous avons tous les deux l'air surpris, c'est que je ne l'avais pas vu non plus", avoue ce dernier.

Ce poisson lippu, un des plus grands habitants des récifs (il peut atteindre 2,30m et 200 kg) a une particularité : il change de sexe. Sa maturité sexuelle est tardive (vers l'âge de 6 ans) et son espérance de vie avoisine trente ans. D'abord femelle, le napoléon se transfome en mâle vers 15 ans : on parle d'hermaphrodisme protogyne. Le processus de métamorphose reste mystérieux. En changeant de sexe, le napoléon se pare de couleurs plus vives et sa bosse frontale devient plus proéminente encore. D'autres poissons de récifs coralliens sont hermaphrodites. C'est le cas notamment du poisson-clown, qui, lui, de mâle devient femelle (l'hermaphrodisme est alors dit protandre).

Photo : Caters News/Sipa.

ÇA M'INTÉRESSE HS N°8 > Août-Septembre > 2014

Un Petit Sourire

OCÉANS PACIFIQUE, ATLANTIQUE ET INDIEN, MER ROUGE...
La faune aquatique fournit a Jeff Rotman ses meilleurs modèles.

"Les fonds marins nous réservent des spectacles incroyables, des morphologies peu communes, explique le photographe. Plus c'est étrange, plus j'aime".

Mais même lorsqu'il évolue seul avec son appareil à cinquante mètres de profondeur, cet explorateur de 64 ans garde l'esprit sur terre : "J'apprecie ces portraits, car on retrouve sur les 'visages' de ces bestioles une expression presque humaine, précise-t-il. Mon préféré est le poisson loup (tout à gauche, en bas) : il a une tête de vieux ronchon mécontent d'être dérangé". Cette anguille de 2 mètres de long, dont les puissantes mâchoires broient sans distinction oursins ou palourdes, a de quoi faire frémir plus d'un plongeur. Mais pas l'intrepide Jeff Rotman.

JEFF ROTMAN : Fort de trois décennies d'experience, cet Américain est reconnu comme l'un des meilleurs photographes sous-marins du monde.

GÉO N°412 > Juin > 2013

Un Curieux Poisson

On le prendrait pour un personnage de BD...

Le blobfish (c'est son nom) est un poisson qui vit dans les eaux australiennes, très loin de la surface : entre 600 et 1200 mètres de fond !

Et c'est justement pour cela que sa chair est si gélatineuse, presque sans muscle : ça lui permet de résister à la pression de l'eau si forte en profondeur. Non seulement il est moche, mais il n'a pas bon goût : c'est pas une vedette ce blobfish !

SCIENCE & VIE DÉCOUVERTES N°170 > Février > 2013

Le Monde Secret des Animaux Fluo

Eclairés en ultraviolet, ces animaux marins se parent de couleurs incroyables. Depuis dix-sept ans, la photographe Louise Murray traque ces espèces fluorescentes pour en offrir des images spectaculaires.
Photos : Louise Murray/SPL/Cosmos

LE CRABE TIMIDE (->) : Tapi dans les branches d'un corail de la famille des Pocilloporidae qui lui apporte abri et lumière, ce crabe porcelaine (Pisidia longicomis) se restaure. C'est la photo préférée de Louise Murray parce que ces petits animaux, très timides, sont difficiles à approcher (mer Rouge, Egypte).

Des verts flamboyants, des rouges et des jaunes coruscants... les férus de plongée ont rarement vu les fonds marins de cette manière. Et pour cause, il y a un truc : pour révéler la luminosité cachée des animaux marins, il faut... éteindre la lumière ! Plus précisément attendre la nuit, afin que la lumière solaire ait disparu, et éclairer les spécimens photographiés en ultraviolet à l'aide d'un projecteur de lumière noire. Certaines espèces de coraux ainsi que les animaux dotés de pigments photosensibles, comme le plancton, réagissent alors à l'excitation du rayonnement UV en réémettant cette lumière sous différentes couleurs, se mettant à briller de mille feux (infographie).
Plusieurs molécules possèdent la capacité de rutiler ainsi sous l'ultraviolet. La mieux connue est la GFP (sigle anglais pour protéine verte fluorescente), qui équipe la méduse, et dont la découverte ainsi que le décryptage de la séquence génétique et son exploitation à des fins scientifiques ont valu à ses auteurs le prix Nobel de médecine 2008. On ignore toujours l'utilité de ce phénomène dans le monde animal. Pour les espèces les moins profondes, il s'agit sans doute d'un filtre qui les protège des violents UV solaires selon un mécanisme non élucidé. Plus généralement, la fluorescence permet à certaines espèces d'effrayer leurs prédateurs ou de se reconnaître entre elles et de se courtiser. Voilà près de 17 ans que la photographe américaine Louise Murray s'est prise de passion pour la réalisation de ces clichés spectaculaires. Un sacerdoce : progresser dans le noir le plus total à 25 mètres de profondeur à la seule lueur des espèces fluorescentes peut se révéler dangereux. "Lors de prises de rue en novembre dernier dans la baie de Tondoba, en Egypte, raconte-t-elle, j'ai fait une mauvaise rencontre avec un oursin invisible, qui m'a planté plusieurs piquants dans la main gauche. Mes doigts se sont mis à enfler. Le dernier piquant n'est sorti que le mois dernier"...

Hervé Ratel - SCIENCES ET AVENIR N°787 > Septembre > 2012

Mexique : Collées ces Raies

Qu'est-ce donc que ce magma grouillant qui recouvre l'océan ?

Le photographe qui a surpris cet incroyable banc de raies le long de la peninsule de Basse-Californie, au Mexique n'en est pas revenu. Mais d'après l'Union Internationale pour la conservation de la nature, la mante de Munk est coutumière du fait.

Ces animaux, qui mesurent un bon metre en moyenne et font parfois de spectaculaires bonds hors de l'eau (comme l'individu qui se la joue solo en bas à droite), se rassemblent tous les ans pour un grand rendez-vous amoureux sous les tropiques.

SCIENCE & VIE JUNIOR N°265 > Octobre > 2011

Mexique : Torture Sous-Marine

Mer de Cortés, Mexique.
Chaque jour, piégées par les filets de pêche, des trotues meurent loin du regard.

Triste destin que celui de cette tortue retenue dans les mailles d'un filet au fond de la mer de Cortés, à l'ouest du Mexique. L'animal, qui ne peut survivre que quelques heures sans respirer, est peut-être déjà mort. Ramon Dominguez, le photographe qui a immortalisé la scène, ne l'a pas précisé dans le commentaire accompagnant ce cliché intitulé "Tristesse sous-marine".

En français, la prisonnière est une tortue imbriquée (hawksbill turtle, tortue à bec de faucon, en anglais), une variété que l'Union internationale pour la conservation de la nature a placée en 1996 sur la liste des espèces en danger critique d'extinction. Il est vrai qu'elle a longtemps été recherchée pour ses écailles chatoyantes, utilisées dans la confection de bijoux, peignes et autres montures de lunettes. Aujourd'hui, elle est principalement une victime collatérale de la pêche... aux poissons. Une étude publiée en avril 2010 par l'association Conservation International a recensé environ 85.000 cas de prise accidentelle de tortues marines dans les 20 dernières années. Etant donné que la plupart de ces "accidents" ne sont pas déclarés, le nombre de victimes s'éléverait en réalité à plusieurs millions. Certains organismes ont beau prôner des solutions - installer des trappes dans les filets, privilégier les hameçons circulaires, ne pas utiliser de calamars comme appâts... elles semblent illusoires. Et puis les habitudes ont la vie dure, aussi dure qu'une carapace.

CHOC N°138 > Décembre > 2010

Australie : Le Serpent de Mer à bu la Tasse

Perth. Ces Australiens ont de quoi sourire : leur pêche est vraiment miraculeuse !

Alors qu'ils se baignaient à quelques mètres du rivage, ils aperçoivent au fond de l'eau ce qu'ils prennent d'abord pour un parre choc de voiture.

Une fois "l'objet" remonté à la surface, ils découvrent qu'il s'agit du cadavre d'un animal très rare.

Le poisson-ruban, l'un des plus grands du monde, vit effet dans les profondeurs : il est exceptionnel d'en admirer un, mêm mort ! Cette belle bête de 4 mètre n'est hélas pas comestible !

CHOC Hors Série N°1 > Décembre > 2005
 
 
   

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